Le mou, qui pendouille, s’entasse, déborde, s’avachit, et qui donne l’irrésistible envie de palper, de malaxer, de mordre dedans et d’attraper telles des poignées d’amour ; le mou plein de mou, celui là même qu’aucun tuteur ne serait rééduquer, car trop fatigué, trop plein de soupe et sans aucune ambition de bien se tenir jamais.
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